Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)
Retour à la page principale
Discussions actives
Cannabis (95)
le temps d'un automne (20)
info sur moi (14)
margaux (4)
(2)
Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?

tous se que vous cherchez

photos, images, poèmes, dessins, ...

Cannabis

Les douze règles d'or à connaître avant de fumer un joint


 

Dans beaucoup de culture, le hashish (résine de cannabis) et la marijuana (têtes de cannabis, appelé herbe) ont été fumées pendant des siècles. Ils viennent tous deux de la plante du chanvre.
Les effets durent pendant deux à quatre heures. Ils peuvent vous rendre gai et relax. Mais comme chaque autre substance, ils peuvent aussi vous envoyer dans la mauvaise voie. A la suite vous allez trouvez 12 règles d'or pour rester sur le bon chemin.

  1. Fumer du hashish et de la marijuana pour passer du bon temps. Mais ne vous allumez pas un joint pour résoudre un un problème personnel.

  2. Si vous fumez du hashish ou de la marijuana chaque jour, essayez d'arrêter pendant quelques jours (pour savoir si vous n'êtes pas dépendant)

  3. Fumez du hashish ou de la marijuana affecte votre concentration, donc, ne fumez pas à l'école, au travail ou quand vous conduisez votre voiture.

  4. Certaines sortes de hashish ou de la marijuana sont plus fortes que d'autres; elles ont un taux de THC plus élevé. Un fumeur expérimenté sait quand il en a assez fumé. Il sait quand il est temps d'arrêter. Mais si vous êtes un nouveau fumeur, vous ne savez pas quand arrêter. Alors il est important d'obtenir avant tout des informations fiables sur ce que vous achetez.

  5. Si vous n'avez pas d'expérience. Ce n'est pas une bonne idée de combiner fumette et boisson (et peu importe le niveau d'alcool, même une simple bière peu vous amener à un bad trip).

  6. Quand vous avez un space cake, il est difficile de savoir combien de cannabis vous mangez. Avant de la savoir, il sera trop tard. Donc commencez avec une petite part. Cela peut prendre entre 45 minutes à 1 heure avant que vous sentiez quelque chose. Attendez d'avoir les effets avant de prendre une autre part, autrement vous êtes sûr d'en prendre trop. (et de faire un bad)

  7. Quelque fois en fumant du hashish ou de la marijuana vous ne vous sentirez pas bien. Cela peut être des nausées, ou de l'anxiété (voir de la paranoïa). Trouvez alors un endroit tranquille pour vous relaxer, et manger ou buvez quelque chose de sucré. Ne paniquer pas. Dans une heure le pire sera passé.

  8. Si vous prenez des médicaments, consultez un médecin avant de fumer du cannabis. Ne fumez surtout pas si vous êtes enceinte.

  9. Quand vous fumez du hashish ou de la marijuana, les substances (goudron et monoxyde de carbone) s'imprègnent dans vos poumons et sont donc dangereuse pour votre santé. (d'où l'importance de faire des pauses (2-3 mois, voire plus) et du sport pour laisser votre organisme réparé les dégats (sans interruption il n'y arrive pas).

  10. Faites attention si vous fumez du cannabis en le mixant avec du tabac, car vous fumez aussi du tabac. La nicotine crée une dépendance importante.

  11. N'achetez pas du hashish ou de la marijuana dans la rue. Recherchez un bon coffee shop (si vous êtes en Hollande) et/ou achetez avec un ami qui s'y connaît.

  12. Ne garder pas de cannabis avec vous quand vous êtes dans un pays étranger (même si c'est légal), ou dans votre pays si ce n'est pas légal.

 

Cannabis : des dangers psychiques établis, des risques cliniques mineurs


LONGTEMPS vide, le dossier scientifique des effets du cannabis sur la santé s'est étoffé ces toutes dernières années. Cannabis : des dangers psychiques établis, des risques cliniques mineurs....

En novembre 2001, l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) rendait publique une expertise collective de la littérature scientifique sur le cannabis. Elle soulignait les incertitudes scientifiques dues au manque d'études, rendues difficiles par le statut illicite du produit. Parmi les éléments plaidant en faveur d'une dangerosité limitée du produit, l'Inserm retenait que, contrairement à d'autres drogues, licites et illicites, aucun décès n'avait été recensé après intoxication aiguë isolée par le cannabis. De même, notaient les experts, les signes somatiques aigus sont « souvent mineurs et inconstamment ressentis ». Enfin, l'altération de certaines performances psychomotrices et cognitives était en général réversible. En matière de dépendance, l'Inserm citait une étude américaine faisant état d'une prévalence « de moins de 5 % en population générale, et proche de 10 % chez les consommateurs ».

Santé physique.

A la suite d'une conférence scientifique, le 25 février 2002, à l'initiative commune des ministères de la santé d'Allemagne, de Belgique, de France, des Pays-Bas et de Suisse, un rapport « Cannabis 2002 » a dressé un nouvel inventaire des connaissances. « Le cannabis n'a pas d'effet clinique chronique notable sur une partie quelconque de l'organisme humain, exception faite des poumons, mais cela est principalement lié aux effets de combustion plutôt qu'au cannabis lui-même, indique le document. La phase goudronneuse de la fumée de marijuana contient environ 50 % de carcinogènes de plus qu'une quantité comparable de tabac non filtré. » Le rapport poursuit : « Il n'y a pas de preuve d'effets chroniques sur le système gastro-intestinal, le système endocrinal ou le système immunitaire. Cependant, le THC [l'un des principaux composants du cannabis] peut provoquer des problèmes cardiaques chez les patients souffrant d'hypertension ou de maladie cardio-vasculaire. » Enfin, sans que des conséquences précises aient été établies, le document européen précise que le THC affecterait le foetus et qu'il passerait dans le lait maternel.

Santé mentale.

L'expertise de l'Inserm envisageait une « vulnérabilité commune à la schizophrénie et à l'abus de cannabis » et une corrélation entre la consommation « répétée » de cannabis et certains troubles mentaux, sans pouvoir déterminer l'ordre d'antériorité. Pour sa part, réunie le 19 février 2002, l'Académie de médecine dénonçait « les désordres physique, psychique, professionnel et social du cannabis ».

Plusieurs études sont venues conforter la thèse d'un lien de causalité entre consommation de cannabis, d'une part, et schizophrénie et dépression, d'autre part ( Le Monde du 27 novembre 2002). Selon une étude suédoise, le cannabis accroîtrait, et ce plus sûrement si la dose est importante, le risque de développer une schizophrénie. Des travaux australiens ont montré une relation, là encore proportionnelle à la dose, entre le cannabis et l'anxiété ou la dépression. Une étude, anglo-franco-néerlandaise, publiée en 2002 dans l' American Journal of Epidemiology, établissait que « l'usage de cannabis peut augmenter le risque de troubles psychotiques et entraîner un pronostic médiocre chez les individus ayant une vulnérabilité établie aux psychoses ».

 

Les usagers du cannabis devraient désormais écoper de contraventions


La consommation du cannabis chez les jeunes Français est, depuis dix ans, en constante augmentation et place la France dans le peloton de tête des pays européens. Un rapport, remis lundi 15 septembre à Jean-Pierre Raffarin, recommande de sanctionner l'usage de drogue, notamment de cannabis, d'une contravention, mais laisse au premier ministre le soin de trancher sur son montant, qui pourrait aller jusqu'à 1 500 euros.

Les usagers de produits stupéfiants, quels qu'ils soient, ne seraient ainsi plus passibles de prison comme prévu dans la loi de 1970.

M. Raffarin devrait lever le voile sur ses choix dimanche 21 septembre dans l'émission "Zone interdite" sur M6 et une réunion des représentants de plusieurs ministères est prévue mardi sur le sujet.

Ce rapport est le fruit des travaux de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), qui regroupe des représentants de l'intérieur, de la justice, de l'éducation nationale et de la santé. Le texte, qui se concentre notamment sur la consommation de cannabis chez les plus jeunes, reste fidèle aux vœux de la majorité en ne distinguant pas drogues "dures" et "douces". En toute logique, la Mildt ne recommande donc pas d'établir des sanctions différentes en fonction du produit consommé.

Ecrit par spiderbgirl, le Samedi 26 Mars 2005, 23:23 dans la rubrique "Actualités".


Version  XML  - Modèle de mise en page dessiné par Seven.